Carnet spirituel n° 54 : Le Sacré (2e partie)

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Éditorial

Savez-vous quels sont mes meilleurs moments ? Ceux que je passe à corriger les textes de nos carnets ! En fait, j’ai du mal à bien relever les erreurs car je suis trop pris par le texte lui-même, et je ne m’arrête que lorsque je ne comprends pas (erreurs de saisie) ou lorsque je suis choqué (fautes de frappe). Sinon, je me délecte ! J’ai relevé pour vous quelques perles parmi d’autres, pour vous mettre en appétit spirituel. Certaines sont rudes, d’autres douces… Bon appétit !

– Il y a pléthore d’humains, mais il y a disette d’hommes.
– Il y a un certain humour à vouloir réunir à un Catholicisme appauvri de Son Intégrité, cause de Son amour, des frères anxieux de retrouver une richesse spirituelle complète, remédiant à la pauvreté de leur état.
– Les vérités absolues ne se parlent pas, elles se vivent.
– Le vide, cette caricature du secret. Rien n’est sonore comme le vide. Rien n’est présence et autorité comme le secret.
– L’amour n’est pas le fait d’un état de vie, il est le fait d’un état d’âme.
– Quand l’homme adore, il est follement heureux, il a fait le geste le plus puissant qui soit : il a mis Dieu en évidence sur la terre.
– L’inventeur de la bombe atomique vient seulement après l’inventeur du laïcisme dans la hiérarchie des responsabilités.
– La Foi nous est donnée pour affirmer avec amour que l’Amour a droit à l’amour.
– La liturgie n’est pas un texte, c’est Quelqu’un qui vient à notre rencontre.


Bonne et rassasiante lecture.

Abbé Michel Simoulin